La profession n’est pas encore réglementée il n’y a donc pas de barrière à l’entrée en théorie.
Certaines écoles mettent en avant leur certification mais ce n’est pas un label attestant de la qualité d’une formation, ni de la compétence du coach.
Un coach continue de se former régulièrement, pour mettre ses connaissances à jour, et garder une pratique en lien avec les évolutions du terrain.
Un coach professionnel doit être supervisé. La supervision, individuelle ou en groupe, est le fait, pour un coach, de se faire régulièrement coacher lui-même sur sa pratique. La supervision du coach sert notamment à valider, confronter, faire évoluer sa pratique, et s’assurer de rester dans l’éthique du coaching professionnel. C’est la preuve qu’il est sans cesse dans la volonté d’améliorer la qualité de ses suivis.
Un coach professionnel travaille dans le cadre d’un contrat. Ce cadre est caractérisé par un nombre de séances défini à l’avance, un objectif global de suivi, une fin connue. Le tout matérialisé dans un contrat écrit, qui doit être signé au démarrage du suivi.
Un coach professionnel sérieux doit avoir une éthique et une déontologie strictes
Si un coach veut vous vendre un coaching sur une durée plus longue qu’un an, vous êtes en droit de vous questionner et de le questionner. Le but du coaching est de rendre le client autonome le plus rapidement possible
Un coach professionnel travaille sur lui-même.
Un coach professionnel sérieux s’est lui-même fait coacher, et s’est souvent fait/se fait accompagner par un thérapeute. Il doit s’engager à tout faire pour maintenir son équilibre mental et émotionnel, pour garantir une neutralité parfaite dans l’accompagnement de ses coachés.
Si la problématique est plutôt d’ordre thérapeutique, il pourra rediriger la personne.